C’est le jeu de la lumière sur l’or qui révèle ce qui était pourtant invisible tout en cachant son propre support, sorte de pudeur de la matière qui se révèle.
C’est la pause de l’or qui, de loin, rend flamboyant un vieux mur dont personne ne se souciait.
L’or c’est autant l’esprit que la richesse. Ce projet traite des questions de mémoire et d’oubli, de richesse et de précarité, de silence et d’invisibilité.
Tel un écho à ces réalités, des empreintes digitales ont été poussées dans la mixtion. Des empreintes d’anonymes, d’invisibles. L’or révèle ainsi une sorte d’histoire partagée, entre briques et humains oubliés.